Des savoirs dans tous leurs états (II) » : Appel à résidences de recherche interdisciplinaire en éducation 2026, Pépinière interdisciplinaire Laboratoire de L’Éducation.
Date limite de dépôt : 30 septembre 2025
Les questions éducatives sont centrales dans les débats actuels sur l’état et l’avenir de nos sociétés. Elles inscrivent des thèmes majeurs à l’agenda des recherches internationales. Elles sont par nature complexes du fait de la multiplicité des acteurs et actrices, des dispositifs, des situations et des pratiques qui y participent. Ces questions constituent un terrain fécond pour des approches interdisciplinaires au sein des sciences humaines et sociales, mais aussi au-delà (informatique, sciences exactes et expérimentales, etc.).
Le Laboratoire de L’Éducation [LLE] a été créé par l’ENS de Lyon et le CNRS pour développer un soutien aux recherches interdisciplinaires sur les questions éducatives, entendues dans un sens large qui ne les cantonne pas uniquement à l’éducation scolaire. Au cœur de ce projet, se trouve la volonté d’articuler différentes perspectives disciplinaires qui se saisissent habituellement de l’objet éducation dans des cadres plus restreints, avec leurs propres interrogations, terrains et méthodes.
Structure de petite taille adaptée aux collaborations étroites, le LLE a soutenu depuis 2016 plus de 60 projets sur le modèle d’une pépinière scientifique, finançant et accueillant des collectifs de recherche sur des programmes scientifiques aux périmètres variés. Le soutien apporté à ces programmes a nourri une réflexion de fond sur les opportunités et les défis de la collaboration interdisciplinaire, qui nous conduit à proposer un tout nouveau format.
Pour l’année civile 2026, nous lançons un deuxième appel à résidences de recherche dans lesquelles le dialogue interdisciplinaire représente un principe fondamental. Il poursuit celui de l’année précédente autour des savoirs.
Thématique 2026 : Des savoirs dans tous leurs états (II)
Cette deuxième édition soutient à nouveau des résidences de recherche interdisciplinaire sur le thème des « Savoirs dans tous leurs états ». L’objectif est de contribuer à faire progresser la connaissance sur les savoirs, sur les processus de leur production, de leur mise en circulation, de leur transmission et réception, de leur évaluation. Volontairement ouvert, le choix de cette thématique a notamment pour but de susciter des questionnements renouvelés sur l’organisation sociale des savoirs dans les champs éducatifs.
Le thème des savoirs pourra, par exemple, être envisagé du point de vue des curricula, des frontières entre éducations formelles et informelles, des relations public/privé, des hiérarchies de savoirs (académiques et pratiques, scientifiques et profanes, généraux et professionnels), des manières différenciées de les catégoriser et de les valoriser, de la légitimité des savoirs générés par l’intelligence artificielle, de la diversification contemporaines des régimes de savoirs, du système éducatif et ses inégalités… Ces quelques thématiques sont ici données à titre d’illustration et ne constitueront pas des critères d’appréciation des propositions.
Appel à contribution pour la Conférence du RESUP à Sciences Po, Paris 17-19 décembre 2025, Au-delà du national.Globalisation, circulations et comparaisonsdans l’enseignement supérieur et la recherche.
Appel à communications pour le colloque « L’expertise en éducation : savoirs, acteurs, réseaux (France, XIXe-XXIe siècles) », Nancy 27-29 octobre 2026.
Ce colloque fait l’hypothèse qu’une genèse sur le temps long est susceptible d’éclairer les tendances et les conflits actuels portant sur la définition de l’expertise en éducation, ses modalités notamment institutionnelles d’existence et le type de savoirs sur lesquels elle repose. Il s’efforcera de faire droit tout à la fois aux poids des héritages et à la spécificité des conjonctures historiques ; aux voix institutionnelles des « experts » reconnus et mandatés ainsi qu’aux savoirs et individus qui ont de fait été écartés de ce processus ou qui l’ont subi, notamment dans un contexte de « globalisation des mondes de l’éducation » et d’histoire globale voire « décoloniale » de l’éducation. Le cadre de l’étude sera le cas de la France, dans ses relations et ses réseaux internationaux, en particulier européens et/ou (post)coloniaux. Le terme initial correspond à la création d’un État centralisé et prenant en charge à l’échelle du territoire national l’organisation de l’éducation, de la première enfance jusqu’à la formation des maîtres, à l’articulation des XVIIIe et XIXe siècles. Nous souhaitons prolonger l’enquête jusqu’au temps présent, afin de mettre en évidence les phénomènes de permanence ou au contraire de reconfiguration, sur le temps long, en jeu dans le recours à différentes formes d’expertise en éducation.
Les communications pourront s’inscrire dans quatre axes principaux :
1. Savoirs
Il est attendu des propositions s’inscrivant dans cet axe qu’elles s’attachent à reconstituer les processus de construction de légitimité de savoirs sur l’éducation, en dialogue avec des savoirs plus institués et mobilisés, ou non, pour des missions de conseil et d’expertise par les pouvoirs publics, à différentes échelles (État, commissions de réformes, institutions locales, …).
2. Acteurs,
Dans cet axe, il pourra s’agir de contribuer à une prosopographie des experts en éducation sur le temps long, et/ou de travailler plus spécifiquement sur des organes institutionnels ayant rempli des missions d’expertise en matière éducative.
3. Configurations,
Les communications de cet axe pourront s’attacher à faire émerger des modèles voire des paradigmes pour penser et comparer, sur le long terme, l’articulation des champs politiques et savants dans le cadre de la production d’une expertise sur les questions éducatives. Outre la mise en lien des sphère politiques et savantes, l’étude des configurations historiques de l’appel à l’expertise en France en matière d’éducation pourra prendre en compte l’évolution des structures sociales et économiques elles-mêmes.
4. Réseaux.
Nous souhaitons, enfin, donner toute leur place, au-delà des individus et des institutions considérés isolément, aux réseaux dans lesquels sont produits les savoirs experts en éducation et dans lesquels se forment et se constituent comme tels les experts. En particulier, cet axe permettra de faire émerger les logiques internationales de constitution d’une expertise, en étudiant
les circulations des idées, des modèles et surtout des experts eux-mêmes au sein de l’espace européen et au-delà (par exemple dans un contexte colonial).
Comité scientifique : Éric Anceau (Université de Lorraine, CRULH), Julien Cahon (Université de Picardie-Jules Verne, CAREF), Jean-François Chanet (Sciences Po Lille, CHSP / Rectorat de l’académie de Créteil), Jean-François Condette (Université de Lille, IRHiS), Stéphanie Dauphin (Université de Lille, CREHS), Rita Hofstetter (Université de Genève, ERHISE), Solenn Huitric (Université Lumière-Lyon II, ECP), Xavier Riondet (Université Rennes 2, CREAD), André D. Robert (Université Lumière-Lyon II, ECP), Marie Vergnon (Université de Caen-Normandie, CIRNEF).
Comité d’organisation : Félix Barancy (Université de Loraine, LISEC), Guy Lapostolle (Université de Lorraine, LISEC).
Modalités de soumission
Les propositions de communication (300 mots) sont à transmettre, par mail, avant le 31 octobre 2025.
Appel à contribution pour un prochain numéro de la revue Mil neuf cent. Il s’agit d’une recherche sur la manière dont, au tournant du 19e siècle, certain·e·s autrices· auteurs font un détour par la fiction pour diffuser des idées politiques.
Der Tintenfass-Preis des Schulmuseums Bern zeichnet eine bildungshistorische Arbeit mit schul-, bildungs- und/oder erziehungsgeschichtlichem Hintergrund aus.
Le prix Tintenfass du Schulmuseum Bern est destiné à une recherche en histoire de l’éducation ou de l’école. Les travaux en langue française sont bienvenus.
Il premio Tintenfass del museo scolastico di Berna premia un lavoro in ambito storico-educativa. Lavori in lingua italiana sono benvenuti.
La revue Cahiers de la recherche sur l’éducation et les savoirs accueille des propositions de dossiers thématiques et d’articles hors-thème (varia). https://journals.openedition.org/cres/
Les propositions de dossiers sont examinées, trois fois par an, par le comité de rédaction de la revue. Les articles hors-thème (varia) ont expertisés au fil de l’eau.
Créés en 2001, les Cahiers de la recherche sur l’éducation et les savoirs développent des perspectives empiriques, méthodologiques et théoriques de sciences sociales sur les questions relatives à l’éducation, à la construction, à la transmission et aux usages sociaux et politiques des savoirs, dans les pays où les systèmes scolaires ont une profondeur historique certaine, et dans ceux où ils n’ont été introduits que plus récemment. La revue publie un numéro par an et accueille des articles en français, anglais et espagnol.
Appel à contribution pour le dossier thématique « Inovação e tradição na história transnacional dos saberes e práticas educacionais« , de la revue Educam em Revista. Numéro dirigé par Bruno Bontempi et Ana Laura Lima.
Au XIXe siècle, l’évolution est devenue un thème central des sciences naturelles et sociales, impactant l’éducation, considérée comme essentielle au progrès humain. L’intense circulation mondiale des idées et des pratiques éducatives, facilitée par les congrès, les voyages et les publications, a également été motivée par les idéologies nationalistes et impérialistes. Les éducateurs cherchaient à émanciper les communautés locales, considérées comme des obstacles au progrès, à promouvoir la formation du « citoyen cosmopolite inachevé », un individu en constante amélioration. Pourtant, il a paru nécessaire d’équilibrer tradition et innovation en éducation, grâce à un effort visant à préserver certaines traditions tout en introduisant des pratiques nouvelles et en stimulant la production de nouvelles connaissances. Le dossier propose d’explorer cette tension, en analysant comment et à travers quels agents et agences les valeurs d’innovation et de tradition se sont manifestées, tout au long des XIXe et XXe siècles, dans le domaine des connaissances et des artefacts, des pratiques et des politiques éducatives.
Les propositions doivent être adressées d’ici mai-juin 2025, et peuvent être rédigées en français. Toutes les informations utiles sont sur le site de la revue: https://revistas.ufpr.br/educar/about/submissions
Call for papers : La scuola in vetrina.Il ruolo delle esposizioni didattiche nello sviluppo del mercato scolastico tra Otto e Novecento
Come è noto, grazie alle riflessioni avviate prima da María del Mar del Pozo Andrés (1983) e poi attraverso un seminario internazionale organizzato nel 2007 dal CEINCE-Centro Internacional de la Cultura Escolar di Berlanga de Duero, in Spagna, nella storiografia educativa si è aperta una nuova pista di indagine dedicata alle Esposizioni Internazionali. Esse, come evidenziato negli atti del citato seminario (Lawn, 2009) possono essere considerate come luogo che preconizza il futuro o meglio in cui la presenza dei materiali educativi permette di scoprire “i segni del futuro” rispetto allo sviluppo di una determinata industria scolastica e delle relative politiche educative. Da quel momento ha preso avvio un filone di studi dedicato a indagare il legame tra Esposizioni Universali del XIX secolo e dell’inizio del XX e l’evoluzione della produzione di sussidi didattici, facendolo diventare un “campo di analisi storiografica in cui ci vengono mostrate le materialità e le loro rappresentazioni come nuovo record per la storia culturale in una prospettiva etnografica ed ermeneutica” (Escolano Benito, 2012: 151). Accanto alle grandi Esposizioni internazionali (Dussel, 2007; Lawn & Grosvenor, 2005; Dittrich, 2011 y 2013; Matasci, 2015; Trigueros-Gordillo & Rubio-Mayoral, 2018; Viola, 2018; Brunelli, 2020), è emerso con chiarezza come anche le mostre didattiche di carattere più strettamente nazionale o locale hanno la capacità di offrirci elementi di grande interesse per l’interpretazione della storia della materialità scolastica di un determinato periodo e per disporre di nuovi tasselli che vanno a nutrire e completare il panorama più ampio della ricerca storico-educativa (Rico Mansard, 2004; D’Ascenzo & Vignoli, 2008; Meda, 2010 y 2016; Durán Rodríguez, 2012; Barausse, 2020; Pizzigoni, 2022).
Anzi talvolta i differenti livelli – mostre internazionali, nazionali e locali – si intrecciano tra loro, andando non solo ad alimentarsi l’un l’altro (per esempio, oggetti premiati in una esposizione didattica locale che vengono portati in mostra a livello internazionale o viceversa) ma anche a permetterci di ricostruire intrecci, contatti, ambiti di impatto, rapporti economici-commerciali tra differenti paesi o differenti ditte, destini di autori e delle loro invenzioni che ampliano la conoscenza di scenari capaci di superare lo specifico luogo e il momento della mostra per entrare a far parte delle politiche (non solo educative) che vanno a determinare la cultura materiale di uno specifico momento storico o di una determinata realtà.
Tali Esposizioni infatti, essendo al momento della loro realizzazione la rappresentazione degli elementi più innovativi della società in cui venivano organizzate – vere e proprie “vetrine” dell’innovazione a scuola –, ci permettono oggi di cogliere i significati rispetto a svariate chiavi interpretative: dalle funzioni che si intendevano attribuire a determinati sussidi didattici in base alle nuove direzioni pedagogiche-metodologiche, ai “movimenti” in quel settore produttivo (nascita di nuovi oggetti, nuovi produttori, nuovi rapporti di scambio, etc.) fino a consentirci di studiare attraverso la materialità scolastica di un determinato periodo gli interessi di chi allora viveva la scuola e parlava di scuola (decisori politici, rappresentanti di interessi economici, associazioni pedagogiche e magistrali, etc.).
La call for papers di Cabás intende quindi proseguire l’indagine dedicata al potenziale euristico delle Esposizioni focalizzando l’attenzione espressamente sulle esposizioni didattiche. Esse potranno essere indagate a differenti livelli sia rispetto alle istituzioni che le organizzano sia rispetto al raggio geografico di impatto delle mostre stesse: la presenza di Esposizioni didattiche nell’ambito delle grandi esposizioni internazionali e universali; la presenza di scuola e oggetti didattici nell’ambito delle Esposizioni nazionali; le esposizioni didattiche regionali, provinciali o municipali; le esposizioni didattiche organizzate da associazioni, enti, organizzazioni e scuole; le esposizioni didattiche dedicate a una specifica disciplina, a uno specifico grado scolastico, a una specifica categoria di prodotti; la presenza di scuola e oggetti didattici nell’ambito delle fiere campionarie. Tali Esposizioni potranno essere indagate secondo molteplici sguardi di ricerca: dall’analisi degli oggetti didattici esposti all’organizzazione in classi espositive (che riflette un pensiero non solo pedagogico ma spesso anche politico e organizzativo); dai soggetti promotori all’analisi degli espositori; dai personaggi incaricati all’organizzazione ai componenti delle giurie; dai relativi premi alle relazioni finali; dai cataloghi alle conferenze organizzate in mostra e così via. L’obiettivo di ogni contributo sarà quello di offrire la conoscenza di una realtà espositiva dedicata alla didattica, della specificità che ne costituisce la sua identità e – nel contempo – del contributo euristico che essa può offrire rispetto al macro-tema delle esposizioni didattiche in Europa e nel mondo tra Otto e Novecento.
COORDINAMENTO SCIENTIFICO:
Juri MEDA (Università di Macerata, Italia) e Francesca Davida PIZZIGONI (Università di Torino, Italia)
LINGUE ACCETTATE:
Il numero monografico sarà pubblicato interamente in lingua inglese.
RICEZIONE DELLE PROPOSTE:
Data limite per la presentazione delle proposte di articoli: I dicembre 2024
Comunicazione dell’accettazione: 31 gennaio 2025
Consegna dei contributi definitivi: 30 giugno 2025
Pubblicazione del numero monografico: dicembre 2025
STRUTTURA DELL’ABSTRACT:
L’abstract della proposta dovrà contenere al max 2.000 battute (spazi inclusi) e può essere inviata in inglese, castigliano o italiano includendo:
Nome e cognome dell’autore (o degli autori) ; Affiliazione istituzionale dell’autore (o degli autori) ; Indirizzo di posta elettronica dell’autore (o degli autori) ; Titolo ; Parole chiave (max. 5) .
Invio della proposta: la proposta deve essere inviata per posta elettronica a:
Sarà ammessa al massimo una proposta di articolo per autore, anche se realizzato in collaborazione con altri.
Invio dell’articolo, template e norme: il caricamento dell’articolo finale dovrà realizzarsi utilizzando lo spazio dedicato nella pagina web di Cabás. Revista Internacional sobre Patrimonio Histórico Educativo, seguendo le norme indicate nella pagina stessa: https://ojs.ehu.eus/index.php/cabas.
BIBLIOGRAFIA:
Barausse, A. (2020). Mostre didattiche, musei pedagogici e musei scolastici in Italia dall’Unità all’ascesa del fascismo. Nation building tra processi di scolarizzazione, modernizzazione delle pratiche didattiche e relazioni internazionali. En A. Barausse, T. de Freitas Ermel, V. Viola (eds.), Prospettive incrociate sul Patrimonio Storico Educativo (pp. 109-150). Pensa Multimedia.
Brunelli, M. (2020). Esposizioni Universali, musei pedagogici e modernizzazione educativa. En M. Brunelli Alle origini del museo scolastico. Storia di un dispositivo didattico al servizio della scuola primaria e popolare tra Otto e Novecento (pp. 14-20). Eum.
D’Ascenzo, M. and Vignoli, R. (eds.). Scuola, didattica e musei tra Otto e Novecento: il Museo didattico Luigi Bombicci di Bologna. Clueb, 2008.
Del Pozo, M. M. (1983). Presencia de la pedagogía española en las Exposiciones Universales del XIX. Historia de la Educación, 2, 165-172.
Dittrich, K. (2011). La modernisation du système éducatif à travers les Expositions universelles, 1873-1904. Japon pluriel, 8, 347-356.
Dittrich, K. (2013). As exposições universais como mídia para a circulação transnacional de saberes sobre o ensino primário na segunda metade do século XIX. História da Educação, 17/41, 213-234.
Durán, M.D. (2012). Las Exposiciones Universales y Regionales como recurso didáctico en las Escuelas de Artes y Oficios (1886-1939). Sarmiento, 16, 143-166.
Dussel, I. (2007). Argentina en las exposiciones universales (1867-1911), VIII Congreso Iberoamericano de Historia de la Educación Latinoamericana. Contactos, cruces y luchas en la historia de la educación latinoamericana, 2007.
Escolano, A. (2011/2012). La Educación en las Exposiciones Universales. Cuestiones Pedagógicas, 21, 149-170.
Guereña, J.K. (2005). España y Europa. La educación (1875-1914). En J. L. Guerena, M. Zapata (eds), Culture et Éducation Dans Les Mondes Hispaniques (pp. 231-142). Presses universitaires François-Rabelais.
Grosvenor, I. (2005) Pleasing to the Eye and at the Same Time Useful in Purpose’: a historical exploration of educational exhibitions. En M. Lawn, I. Grosvenor (eds), Materialities of Schooling (pp. 163-176). Symposium Books.
Lawn, M. (ed.) (2009). Modelling the Future: exhibitions and the materiality of education. Symposium Book, 2009.
Lawn, M. and Grosvenor, I. (eds.) (2009). The Making of School Modernities. Education in World Exhibitions. Symposium Books.
Lawn, M. and Grosvenor, I (2021). Finding traces, researching silences, analysing materiality: notes from the United Kingdom. Educació i Història: Revista d’Història de l’Educació, 38, 33-54.
Matasci, D. (2015). L’école républicaine et l’étranger: une histoire internationale des réformes scolaires en France (1870-1914). ENS éditions.
Meda, J. (2010). Nascita e sviluppo dell’Istituto nel periodo fascista (1929-1943). En P. Giorgi (ed.), Dal Museo nazionale della scuola all’INDIRE. Storia di un istituto al servizio della scuola italiana (1929-2009) (pp. 9-31). Giunti.
Meda, J. (2016). Mezzi di educazione di massa: saggi di storia della cultura materiale della scuola tra 19° e 20° Secolo. FrancoAngeli.
Pizzigoni, F. D. (2022). Tracce di patrimonio. Fonti per lo studio della materialità scolastica nell’Italia del secondo Ottocento. Pensa Multimedia.
Rico, L.M. (2004). Exhibis para educar. Objectos, colecciones y museos de la ciudad de México (1789-1910). Pomares.
Trigueros-Gordillo, G. y Rubio-Mayoral, J.L. (2018). El patrimonio educativo en la Exposición universal de París de 1878. Universidad de Sevilla.
Viola, V. (2018). Il museo artistico e industriale di Giuseppe Barone di Baranello. Rivista di Storia dell’Educazione, 5, 247-264.